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Jeudi 8 février, le réveil est matinal à Moalboal. Nous prenons nos sacs et quittons notre Airbnb. La journée risque d’être un peu longue et riche en différents transports car nous changeons d’île, direction Bohol, un nom qui nous fait un peu rêver depuis le début !

Première étape, nous devons retourner à Cebu City, où nous avions atterri de Taïwan. Nous prenons d’abord un tricycle pour nous rendre dans le centre de Moalboal, où se trouve l’arrêt de bus (100 pesos). À peine le temps d’aller chercher un café au 7/11, le bus arrive ! Nous avons de la chance, d’autant plus qu’il est climatisé, ce qui n’est pas le cas de tous les bus qui font cet itinéraire. Il nous coûte 130 pesos chacun, comme à l’aller, et met 3 heures environ. Cette fois-ci, nous avons passé une bonne nuit et nous pouvons admirer les beaux paysages de Cebu, entre montagnes, mer et rizières.

Arrivés à la gare de bus, nous sautons directement dans un taxi, qui, encore une fois, met le compteur. Pour l’instant les Philippins sont d’une honnêteté presque sans faille, cela fait plaisir ! Nous payons environ 70 pesos pour nous rendre jusqu’au ferry. Nous achetons nos billets au bureau de la compagnie du prochain bateau en partance, Oceanjet. Nous payons les tickets 500 pesos pour la classe « Touriste », en intérieur avec climatisation (on se rendra compte que le seul avantage est le film diffusé (c’est une blague, il est un peu nul, même si Romain ne l’a pas lâché du trajet !) car sinon il fait beaucoup trop froid dans la cabine, et impossible de régler les ventilations). L’autre classe coûte quant à elle 450 pesos. Il y a des bateaux quasiment toutes les heures, cela ne nous paraît donc pas nécessaire de réserver à l’avance, pour ce trajet en tout cas !

Avec le prix du ticket, nous découvrirons qu’il y a pas mal de suppléments : 100 pesos chacun pour nos bagages, 20 pesos chacun pour la «taxe d’embarcadère» (il y a des taxes partout aux Philippines, heureusement les prix sont très bas donc on n’a pas trop l’impression de se faire voler). En attendant d’embarquer, nous achetons un peu à manger, car c’est l’heure !

Le trajet sera très calme, et relativement rapide : 2 heures pour arriver à Tagbilaran, la ville principale sur Bohol, située sur la pointe sud-ouest . L’île est plutôt grande, et il y a pas mal de villes dans lesquelles on peut loger, même si globalement, la plupart des touristes vont à Panglao, une presqu’île juste au sud de Tagbilaran. Après la débâcle sur Koh Rong au Cambodge, nous avons décidé  de ne pas jouer la facilité, mais de partir tout à l’opposé, à l’est, dans une petite ville de bord de mer appelée Anda, où nous avons trouvé une guest house qui a l’air plutôt bien ! Pour nous y rendre, nous reprenons un tricycle (ça commence à faire pas mal de moyens de transport différents là !) jusqu’à la gare de bus de Tagbilaran. Là, nous sommes directement conduits à un minivan qui se rend à Anda dans une quarantaine de minutes, départ à 14h40 (130 pesos par personne). Cela fait déjà 7 heures que nous sommes partis de Moalboal. Nous re-grignotons un peu et c’est parti ! La route est tranquille jusqu’à Anda (une grande route qui longe le bord de mer, c’est beau en plus !), mais ce ne sera pas le trajet le plus agréable de notre vie : nous sommes serrés comme des saucisses, et surtout la musique que joue le conducteur à fond est vraiment horrible… de la grosse techno avec les basses à fond, c’est à devenir fous ! Ça change de Bonnie Tyler et George Michael dans le bus de Moalboal !

Finalement, nous arrivons à destination et le minibus nous dépose au bord du chemin qui nous mène à notre guest house, 1Peace. Il ne peut pas nous déposer aux portes de notre hôtel comme les autres passagers, et pour cause, le chemin n’est pas vraiment praticable ! Le dernier moyen de transport sera donc nos pieds, pour quelques 700 mètres. Nous nous rendons à l’accueil et faisons la connaissance du propriétaire, qui est Français. Il nous indique notre chambre, et nous pouvons enfin nous poser. Elle est simple, de toute façon ce n’est pas pour elle que nous avons choisi de venir ici, mais pour la belle plage quasi privée, et la sublime vue. Nous profitons de notre premier coucher de soleil, pas décevant, et aussi de notre première baignade, bien méritée selon nous !

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Nous faisons ensuite la connaissance des autres voyageurs qui logent ici, et l’ambiance a l’air vraiment sympa. Le mieux, c’est le dîner commun préparé par les propriétaires… ce soir, c’est barbecue coréen, avec du bœuf, du poulet, des légumes et une salade de pommes de terre japonaise des Dieux… on se régale vraiment ! La mauvaise réputation culinaire des Philippines ne nous embête pas trop pour l’instant, mais on ne peut pas dire qu’on mange beaucoup local non plus ! Notre première soirée sera plutôt alcoolisée (premières gouttes d’alcool de 2018 d’ailleurs !), mais cela semble difficile de passer à côté de l’apéro dans cet endroit… on verra par la suite !

Le lendemain, nous nous réveillons un peu difficilement, et décidons de consacrer cette journée à la plage ! Nous partons aussi faire du snorkeling avec nos petites lunettes de plongée. Il y a très vite beaucoup de coraux dans l’eau, mais au début, nous ne voyons pas grand chose. On décide de s’éloigner, un peu, et c’est là que le spectacle commence : des coraux magnifiques, pleins de poissons de toutes les couleurs, des oursins énormes… nous nageons la tête sous l’eau pendant un bon moment, jusqu’à arriver au «drop-off», c’est-à-dire le tombant, où la mer devient vraiment profonde ! Nous faisons donc demi-tour, car on ne voit plus rien du tout ! Et c’est là qu’on la voit… Enfin, Romain, qui hurle « TORTUUUUE » ! Elle est toute petite (enfin par rapport à celles que nous avions vues aux îles Perhentian, en Malaisie), et super mignonne ! Nous tentons de la suivre malgré le courant, mais nous arrêtons rapidement car un bateau arrive vers nous. Nous repartons donc vers le rivage, toujours en observant la vie sous-marine (et Romain). Désolés.

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La fin de journée est tranquille, nous nous « reposons » sur la plage, puis comme la veille : apéro et super dîner. Au menu ce soir, un énorme (mais vraiment ÉNORME) poisson local, le mahi-mahi, servi avec du potiron.

La journée suivante sera un peu moins bien, car Romain est malade, on ne sait pas trop pourquoi… du coup, nous revoyons notre programme de visite de l’île et restons à la guest house. Romain se repose et Marine profite de la plage. Malheureusement, Romain ne pourra même pas goûter le dîner : du porc et poulet marinés avec une sorte de ceviche à la philippine, du riz et des lentilles à l’indienne.

Le lendemain, dimanche 11, Romain va mieux, et du coup, après le petit déjeuner/déjeuner, nous décidons de partir en scooter visiter un peu les environs. Nous partons au nord, en direction de la ville de Candijay. Nous souhaitons aller voir les cascades de Can-umatad, qu’un couple de Français de la guest house nous a recommandé. La route du début est très bonne, mais dès que nous la quittons, ça se complique ! Deux routes se rendent à la cascade, et nous prenons celle la plus au nord, sur les recommandations de maps.me. On vous le dit tout de suite, il vaut mieux éviter cette route pour aller à la cascade : elle est plus longue et certains endroits sont à la limite d’être praticables en scooter. Notre pauvre petite Honda a bien chauffé, et Marine a fait pas mal de portions de route à pied pour lui faciliter la tâche. Bref on déconseille, même si la route était quand même très jolie, entre les rizières, les palmiers, les enfants qui crient pour nous dire bonjour, les gens qui nous sourient, les poulets et les coqs, les buffles, les montagnes en arrière-plan… Mais ça c’est aussi sur l’autre route, donc bon ! Nous nous arrêtons à quelques endroits pour faire des photos, tout en espérant ne pas nous prendre une averse car le ciel se fait assez menaçant ! Nous n’aurons le droit qu’à une petite pluie assez forte, mais très courte heureusement !

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Après peut-être 2 heures de route, nous arrivons finalement à la cascade ! Nous garons le scooter, payons l’entrée (quelques dizaines de pesos chacun), et longeons la rivière jusqu’aux chutes d’eau. La cascade tombe de très haut, ce qui la rend plutôt impressionnante ! Il y a quelques personnes qui se baignent, mais vraiment pas énormément de monde, ce qui rend la visite plus agréable qu’aux Kawasan Falls de Cebu.

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Un escalier part de la gauche de la cascade : nous suivons les conseils du couple de Français, montons les marches (un peu à contrecœur car nous sommes tous les deux en convalescence, Romain de sa journée de maladie et Marine de sa soirée…). La montée est donc un peu rude, surtout sous la chaleur et l’humidité, mais nous y parvenons tout de même ! Et nous ne sommes pas mécontents d’avoir écouté les conseils, car le clou du spectacle est ici ! D’immenses rizières en terrasses surplombent le paysage. Elles sont vraiment incroyables !

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Nous suivons les escaliers qui traversent les rizières, quand la pluie se met à tomber. Heureusement, les propriétaires des lieux nous attendent juste en haut : ils ont aménagé un petit restaurant pour les touristes. La visite des rizières est payante, mais rien de bien méchant : 20 pesos chacun. Nous attendons que la pluie se calme avec un coca (et une soupe pour Marine). Nous faisons la connaissance de Portugais de passage qui tombent vraiment bien, car nous n’avons qu’un gros billet pour payer la soupe, et la dame n’a aucune monnaie… ils nous la payent donc gentiment, heureusement elle ne coûte même pas 1€…

La pluie s’arrête finalement, nous partons donc admirer les rizières de plus près. La lumière d’après-averse est vraiment belle, ce qui rend le paysage encore plus époustouflant. Les rizières sont l’un de nos paysages préférés en Asie, et pour le coup, nous sommes servis !

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Nous repartons par un autre chemin que celui par lequel nous sommes arrivés. Il est hyper glissant, donc nous sommes obligés de marcher-glisser en nous tenant l’un à l’autre. On a l’air vraiment ridicules, heureusement nous sommes seuls, si ce n’est quelques libellules ! Nous longeons maintenant des piscines naturelles d’un bleu presque turquoise, dans lesquelles on peut se baigner. Nous ne tenterons pas, de toute façon nous n’avons pas nos maillots de bain. Nous redescendons ensuite jusqu’à la cascade puis retournons prendre notre scooter au parking. On nous a averti que le phare de celui-ci ne marchait plus, du coup nous décidons de rentrer à Anda avant la nuit. Nous prenons cette fois l’autre route (celle plus au sud), qui est vraiment beaucoup mieux. Quelques endroits ne sont pas terribles mais cela n’a rien à voir avec l’autre route. Et les paysages sont tout aussi magiques (surtout avec la lumière de fin de journée). Nous arrivons finalement juste avant le coucher du soleil, parfait !

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Le soir, nous partons nous coucher tôt après un bon repas de poissons et de crabes ! On terminera de manger à l’intérieur car la pluie décide de se joindre à nous en plein milieu du repas… La plupart des gens décident d’arrêter de manger, et nous ne sommes plus que 4 pour finir les crabes, ce qui est plutôt une bonne nouvelle !

Le lendemain, nous nous levons tôt, pour 2 raisons. La première, c’est qu’une tempête tropicale a été annoncée pour aujourd’hui et demain. Du coup, nous voulons voir ce qu’il en est. Et la vraie raison, c’est que nous avons prévu de faire notre baptême de plongée aujourd’hui avec Freddy, le moniteur qui travaille et vit à la guest house. Il est Français et très sympa, ce qui a bien motivé à nous lancer ! Heureusement, quand nous nous réveillons, la pluie s’est calmée, et notre plongée est donc maintenue. Nous retrouvons Freddy qui revient d’une autre plongée encore plus matinale, et il nous dit que la visibilité est excellente, mieux que toute la semaine. Cela commence plutôt bien ! Nous nous installons donc, et il nous briefe sur les bases et sur ce que nous allons faire aujourd’hui. Nous nous mettons ensuite en combinaison, il nous attache des ceintures de plomb (6 kilos quand même !) et on attrape les bouteilles, qui font au moins 10 kilos. Ainsi équipés on marche un peu difficilement et on se demande comment on va s’en sortir dans l’eau… Nous commençons par nous habituer à tout ça tout au bord de la plage, alors que l’eau nous arrive à la taille. Nous mettons la tête sous l’eau avec le détendeur (on voit déjà un petit serpent marin rayé blanc et noir, Romain est content !), puis nous mettons sur les genoux sous l’eau pour faire quelques exercices. Cela se passe plutôt bien, même si Marine est un peu stressée ! Une fois à peu près à l’aise, nous commençons à nager, puis nous nous éloignons tranquillement du bord, en nageant à la surface. Une fois un peu plus profond, c’est parti ! Nous commençons à nager réellement sous l’eau, et à voir des centaines de poissons, de coraux… c’est vraiment magnifique, cela n’a rien à voir avec le snorkeling car on est au cœur de l’action. Tout est à portée de main, même si on tente de ne rien toucher bien sûr ! Nous nageons un moment jusqu’au drop-off, où nous pouvons aller un peu plus en profondeur le long de la barrière de corail. Nous descendrons jusqu’à 14 mètres pour cette fois, et en vrai, on ne se rend même pas compte de la profondeur ! Une fois dans l’eau, cela paraît presque naturel. Nous voyons un barracuda, pleins de poissons multicolores, des poisson couteaux, des poissons-clowns… Et pour finir, Freddy nous emmène au spot à tortue, où une tortue a l’habitude de dormir. On aura la chance de la voir ! Pour le coup, elle est énorme ! Après encore quelques minutes, nous remontons à la surface. C’est déjà fini, et on a déjà envie de recommencer. On espère pouvoir le refaire dès que possible, pas ici, car ce sera difficile, mais en tout cas ce ne sera pas notre dernière, ça c’est certain !

Le reste de la journée, il se met à pleuvoir assez vite, dès le déjeuner. Du coup, nous restons nous reposer dans notre chambre la plupart de la journée, et nous consolons quand même avec quelques photos de la mer, toujours aussi belle sous le ciel menaçant.

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Le lendemain, mardi 13 février, c’est notre dernière journée entière à Anda, et le temps n’est vraiment pas mieux… il a plu quasiment toute la nuit et le sol est inondé. Nous décidons quand même de louer un scooter pour 24h. L’idée est d’aller vers le village d’Anda aujourd’hui, et de tenter d’aller explorer de nouveau le centre de l’ile demain matin, avant de partir. Nous partons donc à Anda quand la pluie est « calmée », ce qui ne sera en fait jamais vraiment le cas. Nous voulons aller voir une grotte « piscine » (cave pool en anglais), c’est-à-dire un « trou dans le sol » (ou grotte à ciel ouvert) dans lequel il y a de l’eau et où on peut plonger. Malheureusement, c’est un échec, car elle est entourée d’une barrière complètement fermée et cadenassée. Avec la tempête, aucun touriste (sauf nous) n’y va et donc personne n’est là pour surveiller (et ne peut collecter le prix de l’entrée !)… du coup, nous repartons sans rien voir. Nous allons ensuite direction la plage principale d’Anda, qui est plutôt belle, mais ne vaut pas la nôtre non plus ! Nous passons devant l’église du village, allons acheter une recharge d’internet et prendre de l’essence, puis décidons de rentrer.

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Le soir, nous mangeons à l’intérieur car il pleut à verse. Nous avons alors droit au gros de la tempête : des arbres s’effondrent à cause des glissements de terrain, certains bungalow sont inondés… Nos hôtes n’ont jamais vu autant de pluie tomber. Ils sont obligés de ramener le bateau sur la plage pour ne pas qu’il coule alors que l’orage gronde tout près. C’est vraiment impressionnant. Nous décidons de partir nous coucher tôt en espérant que la tempête ne fasse pas trop de dégâts.

Mercredi 14 février, quand nous nous levons, il est 6 heures, et il ne pleut plus. Nous nous préparons donc et prenons notre scooter. Nous souhaitons aller voir l’une des attractions principales de Bohol, les Chocolate Hills. Ça ne se mange pas, ce sont des collines qui deviennent marron lors de la saison des pluies, leur donnant une couleur chocolat ! Elles se trouvent au centre de l’île, à proximité de la ville de Carmen. On nous a annoncé environ 1h30 pour nous y rendre.

Nous traversons d’abord Anda, qui a été fortement touchée par la tempête. De nombreuses maisons sont complètement innondées, ainsi que certaines portions de route. Nous nous rendons dans la ville la plus proche pour tenter de retirer de l’argent. Un peu naïvement, car comme dans notre guest house, il n’y a plus d’électricité ici ! Nous continuons donc à longer le bord de mer jusqu’à Jagna, une ville assez importante. Ici les dégâts sont bien moins importants et l’électricité a été rétablie. Nous pouvons donc retirer de l’argent, une bonne chose car notre note chez 1Peace risque d’être salée !

Nous prenons ensuite la route qui part vers le nord, dans les montagnes. La route sera vraiment très longue… il fait en plus super froid sur le scooter. Mais nous arrivons finalement aux Chocolate Hills sur les coups de 10h (3 heures depuis que nous sommes partis…). Il n’y a pas trop de monde, et il ne pleut pas, on est donc contents ! En plus de cela, le paysage est magnifique. Les collines sont d’une régularité assez époustouflante, et elles nous entourent de tous les côtés. Certaines revêtissent déjà (ou encore) la couleur chocolat, et font ressortir le vert intense de leurs voisines. Elles ne sont pas très hautes, mais c’est un paysage unique au monde,et nous sommes contents de ne pas l’avoir raté !

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Nous repartons vers 10h30 (c’est rapide mais suffisant), car nous devons rendre le scooter vers 13h. Nous prenons une autre route pour repartir (vers la ville Alicia), et elle s’avèrera bien plus rapide. Nous arrivons à l’heure, et nous pouvons même prendre un déjeuner avant notre départ.

Vers 13 heures, nous quittons la guesthouse, direction la route principale pour tenter de trouver un minibus qui se rend à Tagbilaran. Et nous sommes chanceux ! Nous arrêtons le minivan d’un hôtel qui va à Tagbilaran récupérer des clients au ferry. Il nous propose 120 pesos chacun pour nous y emmener. C’est moins cher que le bus « normal » et direct pour le port en plus ! Le meilleur plan du monde ! Il a la clim’, de la musique plutôt bien (surtout par rapport à notre précédente expérience) et nous sommes tous seuls ! Nous arrivons moins de deux heures après au ferry, et prenons nos tickets pour 16h20. Le ferry aura un peu de retard, mais nous arriverons le soir à Cebu City sans souci, pour prendre notre avion dès le lendemain. Direction Legazpi, sur Luzon, l’île principale des Philippines où se situe notamment la capitale, Manille.

Publié par Marine Lascault

Romain & Marine, 26 et 27 ans. En voyage depuis le 31/01/2017. Actuellement en Indonésie Pays déjà parcourus : Népal, Inde, Sri Lanka, Malaisie, Singapour

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3 commentaires

  1. Forcement si vous prenez des coquillages pour des nouilles, et des collines pour du chocolat, ça aide à être malade …… Bonne découverte A bientôt

  2. Serrés comme des saucisses???? Jamais entendu parler!!! Ça doit être l’influence franco belge des derniers temps et les nombreux apéros. Sinon les montagnes chocolat sont superbes et la couleur verte tendre des rizières est unique!!

  3. Paysages surprenants, photos magnifiques entre le ciel menaçant et la luminosité des rizières et de certains arbres. Et que dire des montagnes !!!!!
    Continuez de nous faire réver encore un peu …….

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