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Matinale, c’est peu dire, car nous nous réveillons vers 1h40, après avoir dormi une heure environ à nous deux. Une voiture vient en effet nous chercher à 2h pour nous amener au volcan Batur, à une heure au nord environ, dans la ville de Kintamani (nous avons pris une formule avec transport et guide, car la montée est apparemment interdite sans guide). Nous récupérons 4 autres personnes, mais avant de partir, notre conducteur nous dit que nous allons prendre d’abord un « petit déjeuner ». Il nous dépose à une guest house, où se trouvent déjà une quinzaine d’autres personnes. A priori, nous ne serons pas tous seuls sur ce volcan ! Nous mangeons un banana pancake, et repartons dans notre voiture.

Après une heure de conduite sportive pas très agréable si tôt le matin (c’est d’ailleurs plutôt « si tard le soir » pour la plupart des gens que nous voyons dans la rue), nous arrivons sur un parking, où se trouvent une vingtaine de mini-bus. Si on fait une côte mal taillée, nous sommes bien 400 à nous apprêter à monter sur ce cher volcan ! Nous faisons la rencontre de notre guide, Tukidor (l’orthographe n’est pas sûrement pas bonne), qui est beaucoup plus en forme que nous, puis on nous distribue notre petit déjeuner (on en est donc au deuxième de la journée, à 3h30) que nous rangeons dans notre sac pour plus tard, ainsi qu’une lampe torche chacun. Après un arrêt rapide aux toilettes, nous nous mettons en route avec notre guide. Nous sommes 13 personnes pour les deux guides, mais en fait le nombre ne sera qu’un détail dans cette ascension. Notre guide nous fait prendre un chemin un peu plus long mais beaucoup moins fréquenté pour cette première partie du parcours, ce qui nous va bien. Nous faisons un peu connaissance avec lui, et il nous explique les détails du paysage que nous ne pouvons pas vraiment voir pour l’instant : nous sommes entourés de plantations de tomates, de piments, mais aussi d’oignons nouveaux, que l’on sent très bien. Cette première partie est une route, très facile, avec quelques pentes pas trop raides.

Au bout d’une bonne demi-heure, nous rejoignons le reste de la foule. Et là, on voit le ballet des lampes torches, les centaines de touristes à la queuleuleu en train de monter le volcan. En vrai, on s’attendait à du monde, on est à Bali, en pleine saison, c’est normal. Mais honnêtement, pas à autant de monde. C’est très impressionnant de voir autant de monde debout à cette heure-ci en dehors d’une boîte de nuit… et du coup pas forcément plaisant. Après une petite pause, nous reprenons notre route. Le guide nous indique qu’il reste encore une bonne heure de marche. Le chemin commence à changer radicalement, ce n’est plus une route mais un chemin rempli de roches, qui est beaucoup plus raide. Les lampes torches deviennent donc vite indispensables, car il faut souvent « escalader » les roches. L’ « avantage » du monde, c’est que cela bouchonne et que du coup on monte lentement, et ce n’est pas trop fatigant. Nous arrivons au bout de 3/4 d’heures au premier cratère (que l’on ne voit pas encore), où se trouvent de petits étals qui vendent des boissons chaudes. Le guide nous demande si l’on veut continuer vers le point le plus haut (à 1700 mètres environ), et nous sommes 11 sur 13 dans le groupe à reprendre la route. Il reste 25 minutes, dans du sable plutôt cette fois, sur un chemin plus pentu encore. Nous arrivons finalement au sommet, après 700 mètres d’ascension au total (on a commencé à 1000 mètres), et le lever de soleil va bientôt commencer !

Malheureusement, à l’image des derniers jours à Bali pas très cléments niveau météo, le ciel est très nuageux. On aperçoit quand même à travers le nuage un halo rouge puissant qui annonce la sortie du soleil. Au fur et à mesure que la lumière se fait, on voit que nous sommes littéralement au-dessus des nuages, ou plutôt de la brume matinale. Cela fait comme un océan de nuages à nos pieds, et c’est magnifique ! En face de nous, une autre montagne s’élève au-dessus du lac Batur. Au bout d’un moment, alors que nous nous sommes recroquevillés dans nos doudounes (car à cette heure et cette altitude, il fait très très froid), on voit l’énorme boule rouge apparaître, quelques minutes, et se fondre doucement dans les nuages, qui se dispersent petit à petit.

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Une fois le jour levé, nous retrouvons notre guide parmi les autres (pas forcément chose aisée sachant qu’on a jamais vraiment vu son visage à la lumière !), et on fait demi-tour pour retourner au premier cratère. La descente est en fait encore plus compliquée que la montée dans la sable. Cela glisse beaucoup, mais cela permet d’assister à quelques chutes assez comiques !

Quand nous arrivons en bas nous pouvons enfin voir l’immense cratère, qui n’a plus l’air actif. Cependant, les guides nous montrent des trous dans la roche desquels sortent de la vapeur chaude, qui vient du volcan ! C’est vraiment là qu’on se rend compte de la puissance qui réside sous nos pieds, impressionnant ! Autour du cratère, se trouvent de nombreux singes, qui profitent des restes des petits-déjeuners des touristes. Quelques chiens essayent de grapiller quelques restes, mais pas facile pour eux de faire face aux singes, surtout que les touristes préfèrent donner à ces derniers. Et comme à chaque fois qu’il y a des singes et des touristes, c’est n’importe quoi !

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« L’entrée » du cratère !

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Une première cheminée de vapeur

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… et une deuxième !

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Avec toute cette foule, on pense à un moment avoir vraiment perdu notre guide, mais finalement on le retrouve, avec nos camarades « Ukraine », « Canada », « Sweden », « Switzerland » et « Germany » (le guide nous appelle par nos pays, on a l’impression d’être des équipes de sportifs). Nous repartons dans le sens inverse, jusqu’en bas cette fois. On a tout le loisir maintenant de voir le paysage, qui est magnifique. Dans notre dos, le Mont Batur, en face l’autre montagne à laquelle s’accrochent les nuages, et le lac à nos pieds. Nous pouvons également voir une coulée de lave sèche qui vient d’un des jeunes cratères (pas celui que nous avons grimpé, qui est inactif). Celle-ci n’a rien laissé sur son passage, si ce n’est au milieu de la plaine, un cercle de forêt, qui porte bien son nom de « Lucky Forest ». À côté de celle-ci se trouve un temple hindou. La première éruption du volcan (à la connaissance de l’homme) à eu lieu 1804, mais les éruptions sont encore fréquentes. L’éruption de 1917 a fait plus de 60 000 morts et a détruit l’intégralité du village de Batur, sauf le temple. Les habitants ont reconstruit le village, qui été détruit une seconde fois, s’arrêtant encore une fois aux portes du temple. La dernière éruption date de 2000.

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En marron, la coulée de lave avec en son centre la Lucky Forest (et le point blanc, c’est le temple !)IMG_9351

Nous terminons notre route sur le chemin goudronné, et pouvons désormais voir les champs de piments et autres oignons que nous sentions dans la nuit. Il fait très beau ce matin, et on peut voir pour la première fois le beau ciel bleu de Bali !

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En bas, nous pouvons enfin voir notre mont Batur (nous avons grimpé la crête tout à droite)

Nous arrivons au parking un peu après 9h30 et rentrons directement à la guest house. La route du retour est beaucoup plus longue car nous expérimentons les bouchons de Bali, après ceux du volcan. Et il se remet à pleuvoir très vite. Si on doit faire un petit bilan de cette ascension, nous sommes un peu mitigés, et vous devinez bien pourquoi. Le prix est assez abordable (20€ par personne trajets et petits-dejs compris), mais le nombre de touristes présents est terrifiant. Ce serait peut-être bien de limiter l’accès pour permettent aux gens de mieux profiter des lieux et de la nature, mais cela ne semble pas être la politique de la maison. L’obligation de s’y rendre avec un guide est aussi très limite, car étant donné le monde et le chemin tout droit, celui-ci est quasiment inutile, si ce n’est pour fournir les torches et le petit déjeuner. Bref, c’est magnifique mais en même temps assez décevant. En plus, nous n’avons pas réellement eu de chance avec la météo car le lever de soleil semble être mille fois plus beau sans les nuages (vue sur la mer + le lac et la montagne, qui sont restés un peu cachés 🙁 ) !

Du coup, une fois arrivés, nous prenons notre troisième petit déjeuner (on allait quand même pas rater celui de la guest house, qui on vous le rappelle, est probablement le meilleur du monde), une douche et une bonne sieste.

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Le reste de la journée sera calme, de toute façon nous ne pouvons pas faire grand chose car il pleut des cordes. Nous décidons quand même d’aller nous accorder un petit massage, juste à côté de notre guest house, où les prix sont imbattables (4€ l’heure). Les massages balinais sont raides, mais cela fait du bien (Romain a un bleu !!).

Le soir, nous prenons notre dernier dîner dans notre restaurant préféré, avec notre plat préféré, le babi kecap (du porc à la sauce soja et au piment).

Demain, lever vers 9h pour nous rendre sur l’île Lembongan, au sud de Bali !

Publié par Marine Lascault

Romain & Marine, 26 et 27 ans. En voyage depuis le 31/01/2017. Actuellement en Indonésie Pays déjà parcourus : Népal, Inde, Sri Lanka, Malaisie, Singapour

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3 commentaires

  1. Vous nous épargnez le monde avec vos photos et ceci pour le meilleur !! Superbe !! Ah le massage balinais…..moi j’avais des coups de soleil quand j’en ai fait un, trop douloureux…. Et Charlotte avait réussi à s’endormir…Comme quoi c’est une affaire de feeling !!

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